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Publications d'Alain Cochet

Alain Cochet est docteur en psychologie et exerce en tant que psychologue clinicien.

extrait 4e de couverture
Anthropos, 1998

extraits de 4e de couverture
L'Harmattan 2002

Si la lettre entretient une relation spécifique avec le Réel dans le champ lacanien, en en dessinant le bord, la thèse soutenue dans cet ouvrage est celle de la nécessité de poser une catégorie spécifique pour elle, que nous proposons d'appeler le Scriptal [...] qui aurait toute sa place au côté du Symbolique et de l'Imaginaire, ce qui renverrait le Réel à ce qui se trouve coincé, enserré par ces trois ordres.
Parler de Scriptal, c'est faire cas de la griffe, de la marque, du trait unaire, de la coche, du chiffre, mais aussi bien du blason ou du cartouche, bref de tout ce qui relève de la signature pour le sujet.

extraits de 4e de couverture
L'Harmattan 2011

En définissant le désir comme la métonymie du manque à être, Lacan le positionne dans le plus étroit rapport à la question de l'existence. Il s'inscrit dans la philosophie de Hegel et de Spinoza, qui tend à promouvoir le désir comme essence de l'Homme, et surtout qui le lie au besoin de reconnaissance de son Être.
Tout autre est l'approche de cet essai, qui s'inscrit dans une démarche d'anthropologie psychanalytique. Le manque à être nous paraît relever d'un champ tout à fait différent de celui qui concerne le manque du désir, en tant que tel. C'est que l'identité s'atteste de formes d'écriture, par une combinatoire de lettres (au sens large) qui vient faire office de signature pour le sujet. Ce support est à différencier du matériau signifiant qui, dans le champ de la parole et du langage, vient à être support du désir.
Une fois la structure mise en place, l'Être fait toujours défaut. Il est toujours l'Être perdu, et le sujet ne cesse de fabriquer de l'étant, guidé par un Pousse à Être qui l'entraîne sur la voie d'une écriture de soi. Cette nouvelle approche a, entre autres, des conséquences dans le champ de la clinique des psychoses.

L'Harmattan 2015

	Il est assez troublant de constater que la démarche de Jacques Lacan, tout au long de son enseignement, semble emprunter le défilé logique qui va de la science géométrique grecque jusqu'aux avancées topologiques les plus récentes. Ainsi est-il conduit à la fondation de l'ordre du Réel, mais aussi au repérage de ses différents modes d'entour. extrait 4e de couverture Anthropos, 1998
	Il s'agit précisément ici de tenter de rendre compte de l'articulation entre l'approche lacnienne du noeud, sa nodologie, et le discours mathématique sur ces objets. Difficile en effet de ne pas tenir compte du large usage de données issues des mathématiques tout au long de l'enseignemet de Lacan... Les noeuds sont l'ultime étape dans le serrage du Réel. extraits de 4e de couverture L'Harmattan 2002
	Si la lettre entretient une relation spécifique avec le Réel dans le champ lacanien, en en dessinant le bord, la thèse soutenue dans cet ouvrage est celle de la nécessité de poser une catégorie spécifique pour elle, que nous proposons d'appeler le Scriptal [...] qui aurait toute sa place au côté du Symbolique et de l'Imaginaire, ce qui renverrait le Réel à ce qui se trouve coincé, enserré par ces trois ordres. Parler de Scriptal, c'est faire cas de la griffe, de la marque, du trait unaire, de la coche, du chiffre, mais aussi bien du blason ou du cartouche, bref de tout ce qui relève de la signature pour le sujet. extraits de 4e de couverture L'Harmattan 2011
	En définissant le désir comme la métonymie du manque à être, Lacan le positionne dans le plus étroit rapport à la question de l'existence. Il s'inscrit dans la philosophie de Hegel et de Spinoza, qui tend à promouvoir le désir comme essence de l'Homme, et surtout qui le lie au besoin de reconnaissance de son Être. Tout autre est l'approche de cet essai, qui s'inscrit dans une démarche d'anthropologie psychanalytique. Le manque à être nous paraît relever d'un champ tout à fait différent de celui qui concerne le manque du désir, en tant que tel. C'est que l'identité s'atteste de formes d'écriture, par une combinatoire de lettres (au sens large) qui vient faire office de signature pour le sujet. Ce support est à différencier du matériau signifiant qui, dans le champ de la parole et du langage, vient à être support du désir. Une fois la structure mise en place, l'Être fait toujours défaut. Il est toujours l'Être perdu, et le sujet ne cesse de fabriquer de l'étant, guidé par un Pousse à Être qui l'entraîne sur la voie d'une écriture de soi. Cette nouvelle approche a, entre autres, des conséquences dans le champ de la clinique des psychoses. L'Harmattan 2015